Un échafaudage.

Mardi 14 janvier 2020.

Sainte Nino Vénérée en Géorgie (IVe siècle)

La suite

Pour assujetir l'échafaudage au mur, et travailler en sécurité, je vais placer deux anneaux. Pour cela je creuse avec la perceuse de mon père, réglée en "percussion", deux troux. j'utilise trois forets à béton de tailles progressives.

Premier anneau. La ficelle peut supporter plus que mon poids. J'en met plusieurs brins. De toute manière, un simple calcul trigonométrique niveau seconde montre que lorsque l'echafaudage penche peu, la contrainte sur cette attache est faible. (sin(0) = 0 ).

Cet anneau avait servi à attacher l'échelle. je le récupère de son tronc de noisetier.

Les bases des contreforts sont bien fixée par des clous ou des vielles vis longues qui s'ancrent dans le sol. De lourdes pierres, 10 à 25 kg, viennent renforcer cet ancrage.

L'ensemble une fois monté. Ce fut sportif...

L'état des lieux. Ce n'est pas très grand comme dégat, mais mal placé, à un angle du mur. Je ne suis pas très fier de ma réparation. Il aurait fallu passer plus de temps, tout démonter, etc..., mais je pense que ma réparation est solide.

Dans l'ensemble, cette partie du toit, bien que très ancienne est en bon état. J'évite donc de monter dessus pour ne pas casser de vielles tuiles.

On voit cependant qu'une intervention est nécéssaire pour enlever les lianes porteuse de kiwis.

J'en ai profité pour passer un badigeons à la chaux sur le mur.

Démontage.

Le tas de compost est bien pratique pour amortir la chute des composants. le démontage est bien plus rapide.

Il ne reste plus que la base.

L'ensemble, démonté.

Il tient dans le kangoo, mais heureusement que je n'ai que 5 km à faire, en roulant lentement.